1 français·e meurt toutes les 54 secondes
et si c'était vous ?

Vous êtes un homme, vous habitez Strasbourg et vous avez 58 ans ? C’est un cancer qui vous emportera.

Mais si vous êtes une Toulousaine de 77 ans, c’est une maladie du système nerveux qui vous emmènera au paradis.

Avec Datamort, simulez votre propre mort...

De quoi
risquez-vous
de mourir...

si vous mourriez demain ?

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Mais dépêchez-vous, il ne vous reste plus que 54 secondes...

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D'où viennent ces données

Depuis un siècle, le CépiDc, Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de décès, branche de l’Inserm, Institut national de la santé et de la recherche médicale, produit des statistiques sur les causes médicales de décès en France. Le CépiDc utilise la classification établie par l’organisation mondiale de la santé.

Les données sont constituées à partir des certificats de décès établis par les médecins. 74% des morts en France surviennent dans des établissements médicaux (dont six sur dix à l’hôpital, donc plutôt en ville) et 26% seulement au domicile.

Le médecin qui rédige le certificat prend en compte la cause réelle du décès et la cause initiale. La plus prégnante est privilégiée : un décès par arrêt cardiaque des suites d’un cancer sera ainsi comptabilisé dans la catégorie cancer.

Un dernier biais concerne la catégorie suicide qui est probablement sous-estimée dans les statistiques. Puisqu’un décès constaté comme suicide doit obligatoirement faire l’objet d’une enquête, il est probable que certains certificats restent vagues pour épargner des difficultés aux familles.

INSA : Alexis Busseneau, Landry Trebon, et Mathieu Lochet Paul Bivic ; Sciences Po : Martin Dumas Primbault et Nina Pareja ; LISAA : Arnaud Mahé et Morgane Tessier